Titre : | Le club des incorrigibles optimistes : roman | Type de document : | texte imprimé | Auteurs : | Jean-Michel Guenassia (1950-....), Auteur | Editeur : | Paris : LIBRAIRIE GENERALE FRANCAISE | Année de publication : | 2018 | Collection : | Le livre de poche | Importance : | 1 vol. (729 p.) | Format : | 18 cm | ISBN/ISSN/EAN : | 978-2-253-15964-3 | Prix : | 11.30 € | Langues : | Français (fre) | Index. décimale : | 8-3 | Résumé : | Michel Marini avait douze ans en 1959. C'était l'époque du rock'n'roll et de la guerre d'Algérie. Lui, il était photographe amateur, lecteur compulsif et joueur de baby-foot au Balto de Denfert-Rochereau.
Dans l'arrière-salle du bistrot, il a rencontré Tibor, Léonid, Sacha, Imré et les autres. Ces hommes avaient tous passé le Rideau de fer pour sauver leur vie. Ils avaient abandonné leurs amours, leur famille, leurs idéaux et tout ce qu'ils étaient. Ils s'étaient tous retrouvés à Paris dans ce club d'échecs d'arrière-salle que fréquentaient aussi Kessel et Sartre.
Cette rencontre bouleversa définitivement la vie de Michel. Parce qu'ils étaient tous d'incorrigibles optimistes. |
Le club des incorrigibles optimistes : roman [texte imprimé] / Jean-Michel Guenassia (1950-....), Auteur . - LIBRAIRIE GENERALE FRANCAISE, 2018 . - 1 vol. (729 p.) ; 18 cm. - ( Le livre de poche) . ISBN : 978-2-253-15964-3 : 11.30 € Langues : Français ( fre) Index. décimale : | 8-3 | Résumé : | Michel Marini avait douze ans en 1959. C'était l'époque du rock'n'roll et de la guerre d'Algérie. Lui, il était photographe amateur, lecteur compulsif et joueur de baby-foot au Balto de Denfert-Rochereau.
Dans l'arrière-salle du bistrot, il a rencontré Tibor, Léonid, Sacha, Imré et les autres. Ces hommes avaient tous passé le Rideau de fer pour sauver leur vie. Ils avaient abandonné leurs amours, leur famille, leurs idéaux et tout ce qu'ils étaient. Ils s'étaient tous retrouvés à Paris dans ce club d'échecs d'arrière-salle que fréquentaient aussi Kessel et Sartre.
Cette rencontre bouleversa définitivement la vie de Michel. Parce qu'ils étaient tous d'incorrigibles optimistes. |
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