Titre : | le parfum des fleurs la nuit | Type de document : | texte imprimé | Auteurs : | Leïla Slimani (1981-....), Auteur | Editeur : | Paris [France] : STOCK | Année de publication : | 2021 | Importance : | 1 vol. (151 p.) | Format : | 19 cm | ISBN/ISSN/EAN : | 978-2-234-08830-6 | Prix : | 18 EUR. | Langues : | Français (fre) | Index. décimale : | 8-9 | Résumé : | Comme un écrivain qui pense que « toute audace véritable vient de l’intérieur », Leïla Slimani n’aime pas sortir de chez elle, et préfère la solitude à la distraction. Pourquoi alors accepter cette proposition d’une nuit blanche à la pointe de la Douane, à Venise, dans les collections d’art de la Fondation Pinault, qui ne lui parlent guère ?
Autour de cette « impossibilité » d’un livre, avec un art subtil de digresser dans la nuit vénitienne, Leila Slimani nous parle d’elle, de l’enfermement, du mouvement, du voyage, de l’intimité, de l’identité, de l’entre-deux, entre Orient et Occident, où elle navigue et chaloupe, comme Venise à la pointe de la Douane, comme la cité sur pilotis vouée à la destruction et à la beauté, s’enrichissant et empruntant, silencieuse et raconteuse à la fois. |
le parfum des fleurs la nuit [texte imprimé] / Leïla Slimani (1981-....), Auteur . - Paris (France) : STOCK, 2021 . - 1 vol. (151 p.) ; 19 cm. ISBN : 978-2-234-08830-6 : 18 EUR. Langues : Français ( fre) Index. décimale : | 8-9 | Résumé : | Comme un écrivain qui pense que « toute audace véritable vient de l’intérieur », Leïla Slimani n’aime pas sortir de chez elle, et préfère la solitude à la distraction. Pourquoi alors accepter cette proposition d’une nuit blanche à la pointe de la Douane, à Venise, dans les collections d’art de la Fondation Pinault, qui ne lui parlent guère ?
Autour de cette « impossibilité » d’un livre, avec un art subtil de digresser dans la nuit vénitienne, Leila Slimani nous parle d’elle, de l’enfermement, du mouvement, du voyage, de l’intimité, de l’identité, de l’entre-deux, entre Orient et Occident, où elle navigue et chaloupe, comme Venise à la pointe de la Douane, comme la cité sur pilotis vouée à la destruction et à la beauté, s’enrichissant et empruntant, silencieuse et raconteuse à la fois. |
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