| Titre : | 
					L'Oubli : roman | 
				 
					| Type de document :  | 
					texte imprimé | 
				 
					| Auteurs :  | 
					Frederika Amalia Finkelstein (1991?-....), Auteur | 
				 
					| Editeur : | 
					[Paris] : Gallimard | 
				 
					| Année de publication :  | 
					impr. 2014 | 
				 
					| Collection :  | 
					L'arpenteur  | 
				 
					| Importance :  | 
					1 vol. (172 p.) | 
				 
					| Format :  | 
					22 cm | 
				 
					| ISBN/ISSN/EAN :  | 
					978-2-07-014650-5 | 
				 
					| Langues : | 
					Français (fre) | 
				 
					| Index. décimale :  | 
					8-3  | 
				 
					| Résumé :  | 
					«Je m'appelle Alma et je n'ai pas connu la guerre. J'ai grandi en écoutant Daft Punk, en buvant du Coca-Cola et en jouant à des jeux vidéo sur la Playstation 2. Un jour, j'ai appris que mon grand-père avait fui la Pologne quelques années avant la Seconde Guerre mondiale, avant la Shoah. Ce mot m'a longtemps agacée : son côté spectaculaire. Mais vendredi soir, quand je me suis retrouvée face à la petite-fille d'Adolf Eichmann et qu'elle n'arrivait pas à se remémorer le nom du camp d'Auschwitz, j'ai ressenti comme une douleur - elle a duré quelques secondes. Je me suis rappelé l'exergue de Si c'est un homme de Primo Levi : "N'oubliez pas que cela fut, non, ne l'oubliez pas" ; je crois que je veux faire exactement le contraire. Oublier tout.» | 
				  
 
					L'Oubli : roman [texte imprimé] /  Frederika Amalia Finkelstein (1991?-....), Auteur . -  [Paris] : Gallimard, impr. 2014 . - 1 vol. (172 p.) ; 22 cm. - ( L'arpenteur) . ISBN : 978-2-07-014650-5 Langues : Français ( fre) 
					| Index. décimale :  | 
					8-3  | 
				 
					| Résumé :  | 
					«Je m'appelle Alma et je n'ai pas connu la guerre. J'ai grandi en écoutant Daft Punk, en buvant du Coca-Cola et en jouant à des jeux vidéo sur la Playstation 2. Un jour, j'ai appris que mon grand-père avait fui la Pologne quelques années avant la Seconde Guerre mondiale, avant la Shoah. Ce mot m'a longtemps agacée : son côté spectaculaire. Mais vendredi soir, quand je me suis retrouvée face à la petite-fille d'Adolf Eichmann et qu'elle n'arrivait pas à se remémorer le nom du camp d'Auschwitz, j'ai ressenti comme une douleur - elle a duré quelques secondes. Je me suis rappelé l'exergue de Si c'est un homme de Primo Levi : "N'oubliez pas que cela fut, non, ne l'oubliez pas" ; je crois que je veux faire exactement le contraire. Oublier tout.» | 
				 
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